Qui connaissait le mot « écouvillon » avant la Covid-19?

Le dictionnaire Le Petit Robert vient d’annoncer la liste des nouveaux termes qui entreront dans sa version en ligne à compter du mois de juin 2020.
Parmi ceux-ci, on constate que plusieurs sont liés à la pandémie : covid, coronavirus, déconfinement, distanciation sociale ou physique, écouvillon, télétravailler, immunité collective, etc.
En gastronomie, on trouvera désormais dans l’ouvrage les termes dal (plat de lentilles indien), halloumi (fromage), tempeh (plat de soja fermenté), daïkon (radis blanc), kombucha (boisson fermentée au thé) et mocktail (cocktail sans alcool).
Enfin, le dictionnaire ajoutera les expressions québécoises suivantes :
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Nouveaux termes - Comparaison France/Québec

Le 23 mai dernier (2020), la Commission d'enrichissement de la langue française (CELF) a publié la traduction de plusieurs termes anglophones abondamment utilisés dans la presse en France.
Pour le plaisir, nous avons comparé certains des termes proposés avec ceux suggérés par l’Office québécois de la langue française (OQLF) dans le GrandDictionnaire.com. Voici le résultat.
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« Rouvrir » ou « réouvrir »?

Qui du journal Le Devoir ou de Radio-Canada a raison?
La majorité des dictionnaires recommande d’utiliser le mot rouvrir dans le sens d’« ouvrir de nouveau » ou d'« être de nouveau ouvert au public, aux clients après avoir été fermé quelque temps » (Antidote).
C’est le cas du Petit Robert, du Dictionnaire de l’Académie française et même d’Usito, le dictionnaire québécois. Ce dernier recense le mot réouvrir tout en précisant que son emploi est « critiqué comme synonyme non standard de rouvrir. »
Pourtant, on écrit bien réouverture et non rouverture!
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LE ou LA COVID-19?

Qui du journal Le Monde ou de Radio-Canada a raison?
« COVID-19 » est-il un terme masculin ou féminin?
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Faites-vous de l'« aéroculpabilité » et du « surpartage parental »?

Il a été souvent question d'« aéroculpabilité » dans les médias depuis quelques mois.
Il s'agit du terme suggéré par l'Office québécois de la langue française pour désigner la culpabilité ou la honte « que ressent un voyageur à l'idée d'utiliser le transport aérien, qu'il juge trop polluant, et qui le pousse à se tourner vers d'autres moyens de transport afin de réduire son empreinte de carbone ».